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Nath - première experience

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20161009

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Nath - première experience


Enfant j’avais pris l’habitude de passer mes deux mois de vacance d’été chez mes grands parents à la campagne, dans la ferme familiale. Je passais mon temps entre construction de cabanes en bois et travaux dans les prés. Rien de bien excitant dans le village qui ne devait compter qu’un petit milliers d’habitants…

L’été de mes 15 ans bouleversa entièrement ma vie… tout du moins ma vie sexuelle.

Bien qu’ayant découvert les plaisirs solitaires assez précocement, vers l’âge de 4 ans, avec un ballon… allez savoir ce qui me passa par la tête ce jour là…, à 15 ans j’étais plutôt du genre coincé et timide. Petit binoclard aux oreilles légèrement décollées je n’arrivais à rien avec les filles. Pourtant aussi bizarre que cela puisse paraître, j’avais un certain succès avec les filles de ma classe, notamment les beurettes de mon quartier, qui me draguaient mais bougre d’andouille que j’étais, je restais coincé là, rougissant, incapable de sortir la moindre phrase et de réagir convenablement à leurs avances.
Arrivé à 15 ans la seule chose que j’avais fais de plus excitant avec une fille était donc de lui tenir la main !!! Arrivé à la ferme de mes grands parents je m’apprêtais à passer un autre été sans histoire. Le lendemain de notre arrivée, ma mère m’apprit que des cousins que je n’avais pas vu depuis 3 / 4 ans allaient arriver le lendemain et que, vu le manque de place il faudrait que je partage ma chambre, ou il y avait deux lits, avec ma cousine plus vieille que moi d’un an. Horreur et damnation, je devais dire au revoir à mon petit réconfort du soir…

Le lendemain, les cousins arrivent. Nath est une jeune fille de 16 ans, assez jolie, sans être un canon, le teint mate de sa mère d’origine espagnole, de jolis yeux noisette, plutôt plate à mon grand désespoir… « j’aurais même pas de quoi me rincer l’œil » à 15 ans on se fait tout une idée de la féminité et des rondeurs...

Passe une semaine, on s’ignore presque, les soirs nous profitons du passage de l’un ou l’autre à la douche pour se changer pour aller dormir. Le fait qu’elle insiste pour passer systématiquement à la douche avant moi m’insupportait au plus haut point, mais je n’allais pas tarder à en comprendre la raison.

Nous devions fêter mon anniversaire. La maison était pleine de membres de la famille venus expressément pour fêter mes 15 ans. En invité d’honneur, j’avais eu droit à la place du chef, en bout de table. Nath était à ma droite. Le début du repas se passa, assez bruyant comme à l’habitude, mais sans rien de particulier… jusqu’à ce que Nath se fache avec son voisin de droite et se détourne de lui. Je me pris à admirer son visage empourpré par la colère, elle me souri… elle était belle.
Gêné d’un coup je plongeais mon regard sur mon assiette, n’osant plus tourner mon visage vers elle. Je sentis quelque chose effleurer ma jambe, baissant les yeux je m’aperçu qu’elle était en train de jouer avec ses mules. J’étais hypnotisé, subjugué par cet adorable peton, je ne pouvais plus détourner mon regard de ses orteils vernis de rouge. Une érection comme jamais je n’avais eu commença à faire gonfler caleçon et pantalon à m’en faire mal.

Soudain mon prénom retentit « et bien tu rêves encore mon fils ? »… c’était pour l’arrivée du gâteau. Un peu abasourdi, m’efforçant de reprendre contact avec la réalité, mon regard revint rapidement vers Nath, elle me souriait encore. Interloqué, je n’eu pas le temps de me demander si elle s’était rendu compte de mon trouble que je senti son pied nu remonter lentement le long de ma jambe et s’arrêter à la hauteur de mon sexe qui n’en finissait pas de grossir. Elle l’y laissa toute la fin du repas, de temps en temps je glissais mes mains sous la table, caressant son adorable peton, je voyais bien que certaines caresses, plus précises, lui causaient des petits frissons.

Comme toujours, le reste de l’après-midi, garçons et filles se séparèrent… je fus embarqué bien malgré moi pour le foot dominical, comme si j’avais envie de jouer au foot… cet fin de journée fut un véritable cauchemar.

Enfin arriva le soir. A ma grande surprise elle m’obligea à passer à la douche le premier. A mon entrée dans la chambre je tremblais de tout mon être. Dès que j’eu passé le seuil, elle m’ordonna de fermer la porte. C’est après m’être exécuté que je réalisais qu’il y avait dans la chambre une odeur assez forte et loin d’être désagréable. Nath n’avait laissé que la faible lueur de sa lampe de chevée. Je m’approchais d’elle lentement et je compris que cette odeur venait de ses pieds. A cette pensée mon sexe commença à grossir, Nath, assise sur le bord de son lit, ne pouvait en perdre une miette.
Arrivé à sa hauteur elle m’ordonna de m’asseoir sur mon lit, en face d’elle.
« Tu aimes mes pieds ? » demanda t’elle, « tiens sent ! » et elle me colla son pied sous le nez. Je le pris à deux mains et le colla sur mon visage, je le frottais sur mon nez, humant encore et encore sa plante sublime. « Tu peu lécher si tu veux » je n’attendais que ça… je pris son pied et le lécha lentement d’abords la plante puis je remontais sur les orteils. J’insinuais ma langue entre chacun de ses doigts, puis les avalais un par un. Je sentais son pied se crisper puis se relâcher doucement, bientôt quelques petits couinement me parvinrent aux oreilles. J’entrepris de lui malaxer la plante des pieds tout en lui bouffant litéralement les orteils. Je vis qu’elle se caressait entre les jambes.

Mon sexe n’avait jamais été aussi dure et me lançait une douleur assez jouissive elle aussi. Comme si elle avait ressenti cette douleur, Nath plaqua son second pied sur mon entre jambe et y pratiqua un massage rugueux qui ne tarda pas à m’envoyer au septième ciel. Ce faisant, elle n’avait toujours pas relâché son étreinte sur son sexe et, poussée dans ses derniers retranchements par ses caresses et mon travail sur son pied, elle tourna son visage, mordit son oreiller et étouffa un cri de jouissance.
Nous avons mit un petit moment à reprendre nos esprits, elle cul nue sur son lit, le pieds encore entre mes mains, moi le caleçon complètement inondé de mon sperme.
Nath se releva, s’approcha de moi et m’embrassa tendrement sur la bouche… mon premier baiser… elle me caressa la joue. « Si tout cela reste entre nous tu pourras me nettoyer les pieds tous les soirs si tu veux… »
Assez rapidement nos jeux nocturnes débordèrent sur nos activités journalières, avec à chaque fois la même passion, agrémentée de l’excitation et de la crainte de se faire surprendre. Mais jamais il ne fut question d’aller plus loin entre nous, et même si je pu une ou deux fois insinuer ma langue sur son sexe humide, croyez le ou non mais ce fut le plus belle été de ma vie.

L’année suivante ses parents divorcèrent et elle repartie s’installer en Espagne avec sa mère, jamais je n’eu de ses nouvelles, jamais je n’eu l’occasion de la revoir.

Je suis ouvert à toute discution sur le sujet ...
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